Sous le régime de l’ancien président Yahya Jammeh en Gambie, les discours de haine étaient utilisés comme une arme pour réprimer la dissidence et aggraver les divisions ethniques. Après la transition démocratique de 2016, les réseaux sociaux ont amplifié les défis liés aux discours de haine, nécessitant des réformes juridiques et des réponses institutionnelles pour combattre les discours de division.