Vingt-cinq femmes gambiennes devraient être envoyées en Arabie saoudite et d'autres suivront, après un atelier de formation préalable au départ pour les doter des compétences nécessaires à leurs prochains contrats de deux ans, avec la promesse d'un meilleur salaire que les travailleurs d'autres pays africains.
Le gouvernement espagnol facilite le recrutement par le biais de fonctionnaires, en insistant sur la nécessité de contrats détaillés. Le recrutement saoudien en Gambie implique des agents locaux, la présélection finale étant effectuée par des homologues saoudiens. L'échelle des salaires et les conditions de recrutement en Arabie saoudite restent incertaines et nécessitent une enquête plus approfondie pour obtenir des éclaircissements.