Un rapport de l'Institute of Security Studies met en évidence les préoccupations concernant la présence prolongée de troupes soutenues par la CEDEA en Gambie, ce qui suggère que cela sape la souveraineté et entrave des réformes cruciales. Les Gambiens appellent de plus en plus au départ d'Ecomig, initialement déployé pour la réforme du secteur de la sécurité.

L'Institute of Security Studies recommande à la recherche de CEDEA de recherche de l'ONU et de l'UA pour le processus de construction constitutionnelle de la Gambie, crucial pour la sécurité et les réformes judiciaires après la dictature. Malgré les tensions politiques sur la «Constitution de Barrow», la médiation de la CECEAS est invité à la stabilité et aux progrès de la justice transitoire.

L'ancien président gambien Yahya Jammeh est répertorié parmi les dix ex-leaders les plus «recherchés» les plus «recherchés» pour des crimes graves, y compris les violations des droits de l'homme au cours de son règlement de 22 ans. Bien qu'aucun mandat international n'existe, un tribunal spécial pour la Gambie est créé pour ses poursuites.

Près de 600 habitants de Ghana Town, dans la province de Brufut, en Gambie, sont confrontés à l’apatridie en raison de l’absence de documents officiels, 94 % d’entre eux n’ayant aucune pièce d’identité. Le rapport souligne la nécessité de réformes juridiques et d’une coopération entre les gouvernements pour résoudre ce problème.