La police gambienne a recensé quatre cas présumés de meurtre entre le 29 janvier et le 1er février, notamment les meurtres présumés commis par Fatoumata Bintou Jallow et Haddy Boye. Le porte-parole de la police, Modou Musa Sisawo, a confirmé que des enquêtes sont en cours, les deux suspects étant en détention. Malgré ces incidents, le Président Adama Barrow a déclaré lors d'une récente interview que le taux de criminalité global dans le pays était en baisse.
La police gambienne a clarifié les cas de meurtres présumés récemment, déclarant qu'il s'agissait d'actes de violences conjugales au sein de résidences privées, et non de crimes publics ou liés à des gangs. Modou Musa Sisawo, responsable des relations publiques, a souligné que ces incidents, survenus entre le 29 janvier et le 1er février 2025, n'auraient pas pu être évités par des stratégies policières classiques. La police est déterminée à lutter contre la violence domestique par le biais de la police de proximité, de sensibilisations, du renforcement des lois et de leur application, et en collaborant avec les services sociaux et les organisations de la société civile.
La Police gambienne a clarifié dans un communiqué de presse que les récentes affaires de meurtres présumés étaient des actes de violences domestiques et non des crimes publics ou commis par un gang. Les affaires, survenues entre le 29 janvier et le 1er février 2025, ont eu lieu dans des résidences privées et ont impliqué des individus ayant des relations personnelles préexistantes. La police a souligné son engagement dans la lutte contre la violence domestique par le biais de la police de proximité, l'encouragement au signalement précoce et la collaboration avec les services sociaux et les organisations de la société civile.