International Idea a lancé un dialogue national en Gambie sur le projet de constitution de 2024 pour relancer les discussions de réforme au point mort, dirigée par le Dr Chambers à recueillir des idées et à favoriser le consensus parmi les principales parties prenantes, répondant aux préoccupations du projet rejeté 2020.
International Idea a lancé un dialogue national sur le projet de constitution en 2024 de la Gambie pour relancer les discussions de réforme. Dirigée par le Dr Chambers, le dialogue vise à favoriser le consensus et à répondre aux préoccupations, notamment les limites des termes présidentiels et l'indépendance judiciaire, à s'aligner sur les principes démocratiques et les aspirations nationales.
L'Institute of Security Studies recommande à la recherche de CEDEA de recherche de l'ONU et de l'UA pour le processus de construction constitutionnelle de la Gambie, crucial pour la sécurité et les réformes judiciaires après la dictature. Malgré les tensions politiques sur la «Constitution de Barrow», la médiation de la CECEAS est invité à la stabilité et aux progrès de la justice transitoire.
L'Assemblée nationale devrait débattre du projet de constitution très attendu en mars, visant à remplacer la version obsolète de 1997. Les haies et les préjugés politiques passés posent des défis à son passage, ce qui augmente les incertitudes sur son sort.
L'Assemblée nationale en Gambie s'associe à sa première session ordinaire de l'année législative 2025 pour débattre de la deuxième lecture de la Constitution de la République de la Gambie (Promulgation) Bill, 2024, une étape cruciale dans le processus de réforme constitutionnelle du pays concernant la gouvernance de la gouvernance
L'Assemblée nationale de Gambie débat de l'approbation du projet de loi constitutionnel sans amendements. Le président de la Cour suprême a appelé à la prise en compte des recommandations de la justice dans le processus d'élaboration de la constitution, laissant le sort du projet de loi entre les mains des législateurs tandis que Foroyaa surveille les débats.
Le juge en chef Hassan Jallow exhorte le projet de Constitution de 2024 à intégrer des recommandations visant à renforcer l’État de droit et l’indépendance du pouvoir judiciaire. Ces recommandations incluent probablement une amélioration de la rémunération des magistrats, visant à renforcer le cadre de bonne gouvernance en Gambie.
Le Centre Edward Francis Small (EFSCRJ) en Gambie a exhorté le Président Adama Barrow à renoncer à un troisième mandat, suite à sa récente annonce d'intention de se présenter à l'élection présidentielle de 2026. L'EFSCRJ, dirigé par le militant des droits humains Madi Jobarteh, a exprimé des préoccupations quant à une instabilité politique potentielle et à la corruption liée à un mandat présidentiel prolongé. L'organisation a rappelé à Barrow ses engagements antérieurs en faveur des limites de mandat présidentiel et de la gouvernance démocratique, et a annoncé un projet de campagne contre sa candidature à un troisième mandat.
Le Parti populaire progressiste (PPP), autrefois une entité politique importante durant l'administration Jawara en Gambie, fait actuellement face à des conflits internes et à un déclin de son influence. Une faction au sein du parti a contesté la direction élue au congrès de décembre, invoquant des violations constitutionnelles. Uthman Jeng, représentant de la faction, a insisté sur l'importance de l'intégrité constitutionnelle et de l'équité dans le processus électoral, déclarant que la faction ne contestait pas les résultats des élections, mais soulignait les violations constitutionnelles.
Le People's Progressive Party (PPP), autrefois une force politique influente en Gambie, est confronté à des conflits internes et à une perte d'influence. Une faction du parti a contesté les résultats des élections à la direction qui se sont tenues en décembre, dénonçant des violations constitutionnelles de la part de certains candidats. Uthman Jeng, représentant de la faction dissidente, a souligné l'importance de l'intégrité constitutionnelle et de l'équité dans le processus électoral.
Le président Adama Barrow de la Gambie s'est dit prêt à entamer des discussions directes avec Ousainou Darboe, le leader du principal parti d'opposition, le Parti démocratique unifié (PDU), dans un contexte de tensions persistantes entre le Parti national du peuple (PNP) au pouvoir et le PDU. Le président a souligné l'importance des intérêts nationaux au-delà des rivalités politiques et a réaffirmé son soutien aux réformes constitutionnelles, notamment aux limites du mandat présidentiel. Cette démarche marque un changement potentiel dans l'engagement politique alors que le pays recherche une nouvelle constitution qui équilibre la gouvernance démocratique et l'autorité exécutive.
Le ministre gambien de la Justice a lancé un appel à la communauté internationale pour créer un tribunal hybride chargé de juger les violations des droits de l'homme commises sous le régime de Yahya Jammeh. Ce tribunal, qui nécessite un financement estimé à 60 millions de dollars, a pour objectif de poursuivre les personnes citées dans le rapport de la commission vérité et d'accorder des réparations aux victimes. Le gouvernement s'est engagé à mettre en œuvre les recommandations du tribunal et d'autres recommandations en matière de justice transitionnelle afin de promouvoir la réconciliation et la responsabilisation.