Le NHRC et le haut-commissaire britannique ont formé les forces de l'ordre gambiennes sur les droits de l'homme et la manipulation de la SGBV, abordant les conclusions de la TRRC sur les lacunes de l'égalité des sexes, soulignant l'importance des réformes du secteur de la sécurité et de la justice pour les survivants.
L'article met en évidence une peur sans précédent parmi les Américains sous l'administration de Trump en raison de sa rétribution contre les adversaires et du mépris des normes démocratiques. Il fait valoir que la Constitution américaine, conçue par une classe d'élite, perpétue les inégalités et accorde aux présidents des pouvoirs incontrôlés, sapant les droits fondamentaux et les principes démocratiques.
Le ministère de la Justice de la Gambie s'associe aux Nations Unies pour améliorer les rapports en vertu de la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille, alignant les lois intérieures avec des normes internationales pour protéger les travailleurs migrants à l'étranger.
Le ministre gambien de l'Égalité des sexes, des Enfants et de la Protection sociale a fait état d'un lent déclin de la prévalence des mutilations génitales féminines (MGF), qui est passée de 90 % en 2009 à 73 % actuellement, bien que la pratique ait été criminalisée en 2015. Le ministre a souligné la nécessité d'efforts collectifs pour surmonter les barrières culturelles et sociales qui entravent l'élimination des MGF. Le gouvernement reste attaché à son objectif de tolérance zéro à l'égard des MGF, mais le rythme actuel du changement suggère que cet objectif pourrait rester illusoire pour les générations futures.
Le Centre Edward Francis Small (EFSCRJ) en Gambie a exhorté le Président Adama Barrow à renoncer à un troisième mandat, suite à sa récente annonce d'intention de se présenter à l'élection présidentielle de 2026. L'EFSCRJ, dirigé par le militant des droits humains Madi Jobarteh, a exprimé des préoccupations quant à une instabilité politique potentielle et à la corruption liée à un mandat présidentiel prolongé. L'organisation a rappelé à Barrow ses engagements antérieurs en faveur des limites de mandat présidentiel et de la gouvernance démocratique, et a annoncé un projet de campagne contre sa candidature à un troisième mandat.
La décision du gouvernement gambien d'utiliser l'image de l'ancien président Yahya Jammeh sur les panneaux d'affichage commémorant le Jubilé de diamant du pays a suscité la controverse. Les critiques, notamment les défenseurs des droits de l'homme et les professionnels du droit, soutiennent que cette décision compromet les efforts de justice transitionnelle du pays et glorifie un dirigeant connu pour sa brutalité. Le débat reflète des problèmes plus généraux dans l'ère post-Jammeh de la Gambie concernant la réconciliation et l'unité nationale.
La Gambie a lancé un nouveau magazine juridique intitulé « JUSTICE : Que règne la justice, même si les cieux viennent à tomber », qui vise à promouvoir le discours juridique, la transparence et la responsabilité. Le magazine, fondé par l'éminent juriste FaFa Edrissa M'Bai, servira de plateforme aux praticiens du droit, aux universitaires et aux étudiants pour discuter de questions juridiques urgentes. L'édition inaugurale explore divers sujets, notamment le développement constitutionnel, le rôle du pouvoir judiciaire dans la sauvegarde de la démocratie et la justice de genre.
Le Centre Edward Francis Small pour les droits et la justice (EFSCRJ) de Gambie s'est dit préoccupé par l'arrestation et la détention de Sira Touray par la police gambienne. Le groupe de défense des droits de l'homme a exhorté l'inspecteur général de la police à respecter les droits de Touray pendant sa détention et à fournir une mise à jour publique sur les circonstances entourant son arrestation. Cette affaire a soulevé des questions sur la régularité de la procédure et les droits des détenus en Gambie.
Le shérif Kijera, ancien président du Centre pour les victimes de violations des droits de l'homme en Gambie, a appelé le gouvernement Barrow à émettre un mandat d'arrêt international à l'encontre de l'ancien président Yahya Jammeh. Cela fait suite à l'enregistrement audio publié par Jammeh, actuellement en exil en Guinée équatoriale, dans lequel il déclare son intention de retourner en Gambie et rejette les tentatives de le traduire en justice. Kijera, maintenant à la tête du projet de responsabilisation en Gambie, a exhorté le président Barrow à garantir que Jammeh sera arrêté et tenu responsable s'il rentre.
Le programme d'externalisation de l'Italie pour les réfugiés, qui inclut les Gambiens, a été critiqué par les instances internationales des droits de l'homme. Le gouvernement de Giorgia Meloni a récemment adopté un décret déclarant que les personnes originaires de pays considérés comme « sûrs », dont la Gambie, ne peuvent pas obtenir l'asile politique. Malgré cela, un représentant officiel a assuré que les droits fondamentaux de tout Gambien qui a une demande authentique seront respectés au titre de la Convention de Genève sur la protection des réfugiés de 1951.
Le 11 novembre 2019, la Gambie a déposé une plainte à La Haye contre le Myanmar pour violations des droits de l'homme à l'encontre de la minorité rohingya. Le Canada, les Pays-Bas et la Gambie ont ensuite formé un groupe de travail conjoint pour poursuivre l'affaire, avec le soutien de l'Organisation de la coopération islamique et d'autres pays. Des discussions avec des représentants de l'Indonésie et de l'Arabie saoudite ont affirmé leur soutien aux efforts de la Gambie pour demander des comptes pour les crimes présumés.
Le ministre gambien de la Justice a lancé un appel à la communauté internationale pour créer un tribunal hybride chargé de juger les violations des droits de l'homme commises sous le régime de Yahya Jammeh. Ce tribunal, qui nécessite un financement estimé à 60 millions de dollars, a pour objectif de poursuivre les personnes citées dans le rapport de la commission vérité et d'accorder des réparations aux victimes. Le gouvernement s'est engagé à mettre en œuvre les recommandations du tribunal et d'autres recommandations en matière de justice transitionnelle afin de promouvoir la réconciliation et la responsabilisation.
En 2024, plus de 1 600 Gambiens ont tragiquement perdu la vie en tentant de migrer illégalement vers l’Europe, la majorité d’entre eux périssant en mer. Le gouvernement est invité à s’attaquer aux facteurs sous-jacents à cette tendance dangereuse, tels que le manque d’opportunités et de formation professionnelle pour les jeunes. Une action urgente est nécessaire pour endiguer le flux migratoire et sauver des vies.